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Projet de centrale photovoltaïque industrielle sur Revest St Martin. 


Dégradation de 20 hectares de milieux naturels en Montagne de Lure par la société TEnergie. 

 

Un site défini comme anthropisé malgré sa biodiversité exceptionnelle 

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Vingt  hectares de milieux naturels  vont être ravagés la société TENERGIE pour la construction d'une centrale solaire.

Un inventaire naturaliste récemment réalisé par un bureau d'étude indépendant a permis de révéler la présence de 10 espèces nouvelles, protégées et/ou à très forts enjeux locaux de conservation sur le site.  L'industriel n'ayant pas les dérogations préfectorales pour détruire ces espèces non détectées lors de l'étude d'impact qu'il a commandée, les travaux en cours sont totalement illégaux. 

 

Le Site de Revest St Martin, au lieu dit Corraïne, situé au coeur de la Réserve de Biosphère Luberon-Lure de l’Unesco, est présenté par l'industriel comme une surface anthropisée du fait de sa situation sur une ancienne carrière. Or, d'une part, la carrière ne correspond qu’à environ un dixième de la surface globale, et d’autre part la carrière n’étant plus exploitée depuis plusieurs années, une « remise en état » par la nature elle-même s’est opérée. L'Etude d'Impact initiale de l'industriel avait déjà révélé la présence de 35 espèces protégées (31 d'oiseaux, 3 de reptiles, et 1 d'insecte), démontrant ainsi une diversité importante dans cet écosystème.

 

A nouveau nous posons la question : par quelle logique absurde décide-t-on de détruire un milieu naturel riche en biodiversité pour y installer une usine photovoltaïque ?

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